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L'assurance vie expliquée « aux nuls » : guide complet pour débuter en 2025

20 min


MAJ mars 2025

L’assurance vie est considérée comme « le couteau suisse de l’épargne ». Ce placement permet, il est vrai, à la fois de faire fructifier vos économies, diversifier votre épargne, financer vos projets, préparer votre retraite, organiser votre succession, tout en vous permettant de profiter d’avantages fiscaux.

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Principes fondamentaux de l'assurance vie

Définition de l'assurance vie

L’assurance vie est un contrat que vous signez avec un assureur, dans lequel ce dernier s’engage à vous restituer de votre vivant et/ou à votre ou à vos bénéficiaire(s) à votre décès les capitaux que vous avez versés, majorés des éventuels gains.

Comment ça fonctionne ?

Vous pouvez souscrire un contrat d’assurance vie directement auprès :

  • D’un assureur,
  • De la filiale d’assurance d’une banque (bancassureur),
  • D’une mutuelle ou
  • D’une institution de prévoyance.

Mais également...

Vous pouvez également passer par :

  • Un intermédiaire, comme un agent général d’assurance,
  • Un courtier en assurance,
  • Un conseiller en gestion de patrimoine (CGP) ou
  • Une plateforme Internet.

Vous pouvez ouvrir un contrat au nom d’une personne mineure (avec l’accord de ses parents et de l’enfant s’il a 12 ans ou plus).

Il suffit généralement de quelques dizaines ou centaines d’euros pour souscrire un contrat d’assurance vie. Vous alimentez ensuite votre contrat en effectuant des versements (également appelés « cotisations » ou « primes »).

L’assurance vie n’étant pas plafonnée (contrairement au Livret A ou au PEA), vous pouvez placer sur votre contrat autant d’argent que vous voulez.

Bon à savoir

  • Les versements peuvent être libres, c’est-à-dire que vous versez la somme de votre choix quand vous le souhaitez.
  • Ils peuvent également être programmés : vous mettez en place un prélèvement automatique de votre compte en banque à votre contrat d’assurance vie selon la somme et la périodicité qui vous conviennent.

L’autre principal atout de l’assurance est que vous avez la possibilité de réaliser des retraits (ou « rachats ») à n’importe quel moment et, là-aussi, du montant de votre choix. Vous pouvez programmer des rachats partiels.

Un rachat total entraîne la clôture définitive du contrat.

Cerise sur le gâteau : vous avez la possibilité de désigner librement la ou les personnes qui percevront les capitaux de votre assurance vie à votre décès (voir plus loin).

À quoi sert une assurance vie ?

Compte tenu de sa grande souplesse de fonctionnement, l’assurance vie peut être utilisée pour atteindre des objectifs différents :

  • En premier lieu, elle peut servir à faire fructifier vos économies grâce aux gains générés.
  • Elle peut aussi participer à la diversification de votre épargne, car ce placement permet d’investir dans une large palette d’actifs financiers (voir ci-dessous).
  • Par le biais des rachats, l’assurance vie permet également de financer des projets à long terme, comme l’acquisition de la résidence principale, le financement des études supérieures des enfants ou la préparation à la retraite (voir en fin d’article).
  • Enfin, ce placement permet d’organiser sa future succession.

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Les placements et supports d'investissement à votre disposition

Il existe deux grands supports d’investissement dans l’assurance vie : le fonds en euros et les unités de compte (UC).

Le contrat multisupports vous permet d’investir à la fois sur ces deux supports complémentaires. Il est alors possible de réaliser des arbitrages, c’est-à-dire des transferts de capitaux du fonds en euros vers les UC, ou inversement.

Le fonds en euros : sécurité grâce au capital garanti

Composition et rôle de l'assureur

Le fonds en euros correspond à l’actif général de l’assureur. C’est donc l’assureur, et non vous, qui décide de la composition du portefeuille de ce support, sachant que le Code des assurances prévoit que le fonds en euros soit constitué d’au moins 80 % d’obligations (des créances de long terme émises par des États ou des entreprises).

Garantie du capital et avantages des intérêts composés

Le capital du fonds en euros est garanti par l’assureur : quelle que soit l’évolution des marchés financiers, vous êtes sûr de pouvoir récupérer le cumul de vos versements à tout moment. Les intérêts annuels sont définitivement acquis grâce à « l’effet cliquet ». Si vous n’effectuez pas de rachats, vous pourrez ainsi profiter des intérêts composés, c’est-à-dire que les intérêts vont générer eux-mêmes des intérêts.

Sécurité et faible rémunération

Mais si le fonds en euros est sécurisé, ce support est peu rémunérateur. Puisque l’assureur doit pouvoir reverser les capitaux à ses assurés à tout moment, il ne peut pas se permettre de prendre des risques. C’est pourquoi il investit majoritairement dans des obligations de qualité, des créances où le défaut de remboursement est quasiment nul. En contrepartie de cette sécurité, ces obligations offrent de faibles taux d’intérêt.

Quand touche-t-on les intérêts du fonds euros ?

Les intérêts annuels du fonds en euros sont servis le 31 décembre. Ils correspondent à une fraction des gains générés dans l’année par l’actif général de l’assureur. La partie restante est reversée dans la provision pour participation aux bénéfices (PPB). Le Code des assurances oblige les assureurs à reverser à leurs assurés cette réserve financière au bout de huit ans.

Les unités de compte : rendements potentiels mais plus de risques

Les unités de compte peuvent loger des parts de fonds d’investissement très divers.

Par le biais des UC, vous pouvez investir dans :

  • Des fonds actions (un panier d’actions d’entreprises cotées en Bourse),
  • Des fonds obligataires (constitués d’obligations),
  • Des fonds monétaires (intégrant des créances à court et moyen terme),
  • Des fonds immobiliers (SCPI, OPCI, SCI) ou encore
  • Des fonds de « private equity » (composés de titres d’entreprises non cotées).

Les performances des unités de compte sont potentiellement plus élevées que le fonds en euros, car ces supports bénéficient du dynamisme des marchés financiers (en contrepartie d’une détention sur le long terme).

Attention !

En revanche, les UC sont nettement plus risquées puisqu’elles n’offrent aucune garantie sur le capital.

En cas de moins-value, c’est l’assuré et non l’assureur qui enregistre la perte.

La moins-value demeure, toutefois, « latente » (virtuelle), tant que le souscripteur n’effectue pas de rachat. Les UC augmentent le rendement potentiel de votre assurance vie.

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Les différents types de gestion de votre épargne en assurance vie

À la souscription, vous devez déterminer comment votre contrat d’assurance vie sera géré.

Vous pouvez changer de mode de gestion en cours de contrat.

La gestion libre

Avec la gestion libre, vous gérez vous-même l’allocation d’actifs de votre contrat d’assurance vie. Vous choisissez les fonds logés dans les unités de compte.

Vous décidez de la part de votre épargne sécurisée sur le fonds en euros, et celle investie sur les UC potentiellement plus rémunératrices, mais plus risquées.

A noter

Les frais de gestion de votre contrat sont logiquement moins élevés, ce qui accroit le rendement net de votre assurance vie.

Pour bien gérer votre contrat, vous devez posséder de solides connaissances financières. Vous devez également suivre constamment l’évolution des marchés financiers. C’est vous aussi qui devez effectuer les arbitrages.

Toutes ces activités sont chronophages et vous devez donc disposer de temps pour les réaliser.

Bon à savoir

Vous avez la possibilité de souscrire, dans le cadre de la gestion libre, des options d’arbitrage qui s’enclenchent automatiquement, comme La sécurisation des plus-values (à un certain pourcentage de performance, les plus-values de vos UC sont transférées dans le fonds en euros garanti).

Ces options sont payantes.

La gestion sous mandat

Vous avez la possibilité de déléguer la gestion de votre contrat d’assurance vie en signant un mandat de gestion auprès d’un professionnel. Cette délégation génère parfois des frais de gestion supplémentaires.

La gestion profilée/pilotée

Votre contrat est géré en fonction de votre profil d’investisseur (âge, situation personnelle et professionnelle, capacité d’épargne, horizon de placement, appétence au risque).

On distingue trois grands profils :

  • Le profil « prudent » (la part du fonds en euros est prépondérante),
  • Le profil « équilibré » (la part du fonds en euros et celle des UC sont équivalentes) et
  • Le profil « dynamique » (la part des UC est prépondérante).

La gestion déléguée

Votre contrat est géré par un gérant indépendant à l’assureur. La gestion est sur-mesure.

Le gérant prend en compte votre profil d’investisseur, vos projets, mais aussi les opportunités de marché, et vous adresse un bilan régulier de votre contrat.

Les frais de gestion sont, en conséquence, plus élevés, mais les performances sont potentiellement supérieures.

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La fiscalité avantageuse du contrat d'assurance vie en cas de rachat

Pour rappel, vous pouvez réaliser des rachats sur votre assurance vie à tout moment.

Qu'est-ce qui est fiscalisé en cas de rachat ?

Tant que vous n’effectuez pas un rachat, vous n’êtes pas imposé. La fiscalité des sommes rachetées porte uniquement sur les gains (intérêts annuels du fonds en euros, plus-values des unités de compte).

Les abattements à connaître

Si vous avez souscrit votre contrat d’assurance vie depuis plus de huit ans, vous bénéficiez d’un abattement annuel au titre de l’antériorité fiscale.

Cette franchise d’impôt s’élève :

  • à 4 600 euros par an si vous êtes célibataire ou
  • à 9 200 euros par an si vous êtes marié ou pacsé.

Dit autrement, les 4 600 premiers euros ou les 9 200 premiers euros de gains issus de vos rachats dans l’année sont exonérés d’impôt (mais pas de prélèvements sociaux).

Les taux d'imposition à savoir en cas de retrait

La fiscalité des gains issus des primes versées avant le 27/09/2017

Pour les gains issus de primes versées avant le 27 septembre 2017, vous pouvez choisir, à la place de l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu (IR), d’être soumis au prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) dont le taux varie selon l’âge du contrat d’assurance vie (35% moins de quatre ans, 15% de quatre à huit ans, 7,5% au-delà de huit ans).

Âge du contrat Imposition par défaut Imposition en option
Moins de 4 ans Barème progressif de l’impôt sur le revenu (IR) + prélèvements sociaux (PS) à 17,2% Prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) à 35% + prélèvements sociaux (PS) à 17,2%
Entre 4 et 8 ans Barème progressif de l’IR + PS à 17,2% PFL à 15% + PS à 17,2%
Plus de 8 ans Barème progressif de l’IR (après application de l’abattement de 4 600 euros ou de 9 200 euros) + PS à 17,2% PFL à 7,5% (après application de l’abattement de 4 600 ou de 9 200 euros) + PS à 17,2%



La fiscalité des gains issus des primes versées depuis le 27/09/2017

Pour les gains issus de primes versées depuis le 27 septembre 2017, vous pouvez opter à la place du prélèvement forfaitaire unique (PFU) ou « flat tax » à 30%, pour le barème progressif à l’IR.

Attention : cette dernière option sera alors appliquée pour l’ensemble de vos autres placements.

Âge du contrat Imposition par défaut Imposition en option
Moins de 8 ans Prélèvement forfaitaire unique (PFU) à 30% (12,8% au titre de l’impôt sur le revenu + 17,2% de prélèvements sociaux) Barème progressif de l’impôt sur le revenu (IR) + prélèvements sociaux (PS) à 17,2%
Plus de 8 ans (jusqu’à 150 000 euros de primes versées, tous contrats d’assurance vie confondus) Prélèvement forfaitaire de 7,5% (après application de l’abattement de 4 600 ou de 9 200 euros) + PS à 17,2% Barème progressif de l’IR (après application de l’abattement de 4 600 euros ou de 9 200 euros) + PS à 17,2%
Plus de 8 ans (au-delà de 150 000 euros d’encours, tous contrats d’assurance vie confondus) PFU à 30% (après application de l’abattement de 4 600 ou de 9 200 euros) Barème progressif de l’IR (après application de l’abattement de 4 600 ou de 9 200 euros) + PS à 17,2%

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Assurance vie et règles de succession

La clause bénéficiaire

Désigner librement vos bénéficiaires

La clause bénéficiaire intégrée dans les contrats d’assurance vie vous permet de désigner la ou les personnes qui recevront les capitaux de votre contrat à vos décès. Le ou les bénéficiaire(s) que vous désignez peuvent être extérieurs à votre famille. Vous pouvez même désigner une association ou une fondation reconnue d’utilité publique.

Modification des bénéficiaires : une procédure simple et gratuite

Vous pouvez modifier gratuitement et à tout moment les bénéficiaires de votre assurance vie. Il vous suffit d’envoyer un courrier à votre assureur en indiquant les prénoms, nom, date de naissance et adresse postale de votre ou de vos bénéficiaires. Vous devez préciser le pourcentage des capitaux à transmettre à votre décès à chacun des bénéficiaires lorsqu’il y en a plusieurs. N’oubliez pas de signer le courrier pour qu’il soit valable et de le dater, car c’est la clause la plus récente qui s’appliquera.

Primes versées avant 70 ans

Les capitaux issus des primes versées avant votre 70ème anniversaire seront transmises à votre décès en franchise d’impôt à hauteur de 152 500 euros à chacun de vos bénéficiaires désignés.

La fraction comprise entre 152 500 euros et 852 500 euros sera taxée à 20 %, et celle supérieure à 852 500 euros à 31,25 %.

Primes versées après 70 ans

Pour les primes versées après les 70 ans, l'abattement fiscal est de 30 500 € et s'applique sur le montant des versements réalisés. Il sera, cette fois-ci, commun à l’ensemble de vos bénéficiaires (partagé au prorata de leurs parts).

Au-delà de cet abattement, les primes versées seront soumises aux droits de succession qui dépendront de votre lien de parenté entre vous et votre ou vos bénéficiaires. 

Il est important de noter que les intérêts générés par des primes versées après les 70 ans du souscripteur sont exonérés de fiscalité. De plus, la fiscalité évoquée correspond aux contrats ouverts depuis le 20 novembre 1991.

A noter

Votre époux, épouse ou partenaire de Pacs survivant (à condition que vous ayez désigné votre partenaire comme votre héritier par testament) seront exonérés de droits de succession.

Bon à savoir

Les capitaux issus des primes versées avant le 13 octobre 1998 ne sont pas imposés pour les contrats ouverts avant le 20 novembre 1991, et uniquement pour celles versées avant les 70 ans du souscripteur pour les contrats ouverts après le 20 novembre 1991.

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Quels sont les frais à surveiller avant de souscrire à une assurance vie ?

Les frais sur versement

Ils sont appliqués sur chacun des versements que vous effectuez. Ces frais peuvent représenter jusqu’à 5 % des sommes versées.

De plus en plus de contrats d’assurance vie proposent des frais sur versement de 0 %.

Les frais de gestion

Ils sont prélevés directement par l’assureur. Les frais de gestion du fonds en euros représentent entre 0,5 % et 1 % de l’encours (les versements cumulés et majorés des gains), tandis que ceux des unités de compte sont compris entre 0,6 % et 2 % de l’encours.

Si vous optez pour une gestion sous mandat, des frais de gestion supplémentaires s'ajoutent.

Les frais d’arbitrage

Ils sont appliqués à chaque arbitrage entre les supports d’investissement. Ces frais peuvent être forfaitaires ou proportionnels (jusqu’à 1 % des sommes arbitrées).

Des contrats d’assurance vie proposent un nombre d’arbitrages gratuits par an.

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Quels sont les inconvénients de l'assurance vie ?

Comme indiqué plus haut, les contrats d’assurance vie supportent de nombreux frais qui réduisent d’autant le rendement net :

  • Les prélèvements sociaux à 17,2 % sont prélevés chaque année sur le fonds en euros, y compris en l’absence de rachat.
  • Les unités de compte n’offrent pas de garantie sur le capital.

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Comment choisir une assurance vie en fonction de ses besoins ?

Les besoins financiers

Grâce à la capitalisation des gains, vous pouvez faire fructifier votre épargne. Vous pouvez ainsi vous constituer un apport financier qui vous permettra de négocier plus facilement un crédit immobilier pour l’achat de votre logement.

Vous pouvez percevoir un revenu de complément via des rachats programmés. Vous pouvez dénouer votre assurance vie à la retraite en rente viagère (une somme d’argent calculée en fonction de l’encours du contrat et de votre espérance de vie, versée régulièrement jusqu’à votre décès). 

Les besoins extra-financiers

L’assurance vie peut vous aider à rendre utile votre épargne pour la planète et/ou pour la société.

Depuis le 1er janvier 2020, les assureurs doivent proposer, dans le cadre de contrats d’assurance vie multisupports :

  • Au moins une unité de compte ayant le label ISR (investissement socialement responsable),
  • Au moins une unité de compte ayant le label Greenfin (transition écologique) et
  • Au moins une unité de compte ayant le label Finansol (épargne solidaire).

Côté MAIF

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